Catégories : Femmes soumises SM camisole Femmes fessées
Ce récit est la suite de : Alpha et Oméga, Partie 2. Chapitre 1
il y a 4 ans
Le samedi, j’embarquais dans l’avion à destination de Corfou. J’avais décidé d’y passer 2 semaines. Ces deux semaines me firent un bien fou, même si mes deux bébés m’avaient énormément manqués. Promenade, plage, sauna, spa, massage et soleil, avait composés mes vacances.
Le lundi, je me décidais à me rendre au parc, mes bébés me manquaient trop. De plus, Fitg n’était pas de service ce jour-là. Je ne souhaitais pas le croiser plus tôt que prévu. On n’est jamais pressé de perdre son meilleur ami…
Quelle fut ma surprise de découvrir Fitg dans l’enclos pour la démonstration de 14h. Ma visite serait donc pour le lendemain. Je me dirigeais vers la sortie du secteur, quand j’entendis quelqu’un venir en courant derrière-moi. Je me mis de côté, afin que celle-ci puisse passer sans soucis, quand elle me tomba dans les bras.
-
Cassy !
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Liz ?!
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Depuis quand es-tu rentrée ??
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Samedi soir.
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Pourquoi ne pas avoir prévenu ? Je suis tellement contente que tu sois rentrée !!!!
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Je ne souhaitais déranger personne. Je peux te poser une question ?
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Bien sûr !
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Fitg n’est pas de repos ?
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Non, il a décidé de travailler de jour en ton absence.
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D’accord.
-
Allez viens ! Tu as toutes tes vacances à me raconter et je suis sûre que Fitg sera ravi de t’avoir pour diner !!
-
Ce n’est pas une bonne idée Liz, une autre fois peut-être.
-
Non, non. Tu viens avec moi.
Et elle m’a entraînée par la main, sans que je puisse ajouter quoique ce soit. Il n’était que 14h après tout, je trouverais bien une excuse pour partir avant 18h. De toute façon, être présente quand il rentrerait était une mauvaise idée. Il ne souhaitait pas me voir, alors autant ne pas lui imposer ma présence.
Malheureusement, en discutant avec Elizabeth, je n’ai pas vu le temps passé. Quand, j’ai reconnu le bruit de sa voiture, il était trop tard. Il est entré, a embrassé sa femme et m’a jeté un regard polaire rempli de colère avant de partir dans sa chambre.
Je me suis levée de ma chaise, les larmes aux yeux et le cœur fissuré, j’ai mis ma veste et dit à Liz :
-
Je vais m’en aller, je savais que c’était une mauvaise idée. Rassure-le en lui disant qu’il ne me reverra plus jamais. Je vais modifier les équipes.
-
Cassandra, noonnnn….
-
QU’EST-CE QUE TU VIENS DE DIRE ???
Sans que je comprenne le pourquoi du comment, j’ai ramassé une gifle monumentale de la part de Fitg. Je n’ai pas eu le temps de me remettre, que j’étais couchée en travers de ses genoux en train de recevoir une correction magistrale. Il a ordonné à Liz, sur un ton sans appel, de lui ramener la tawse. J’ignorais ce que cela était et, j’aurais préférée ne jamais la connaître. Je hurlais sous ses coups donnaient à pleine puissance. Il me répétait que je ne comprenais rien à rien. Il avait raison, je ne comprenais rien, sauf qu’il ne restait plus rien de notre amitié. Si me punir comme il le faisait, pouvez lui éviter de me haïr, alors tant mieux, ce serait déjà cela. Je ne me suis pas débattue, je l’ai laissé continuer, sans rien dire, juste en pleurant et en essayant de contrôler mes sanglots et ma respiration totalement désordonnée. Quand il s’est arrêté et m’a lâchée, je suis tombée à ses genoux. Pendant une minute, je n’ai pas bougé, n’ai rien dit. Puis, je me suis relevée, lui ai dit que j’étais désolée et je suis partie en récupérant mes affaires.
En rentrant chez moi, je me suis glissée sous la douche et mis de la crème sur mes pauvres fesses couvertes de bleus. Puis, après avoir rajouté un coussin sur mon fauteuil de bureau, j’ai envoyé un mail à tout le personnel du secteur et au directeur. J’annonçais dans ce mail que, en tant que chef de secteur, je modifiais le fonctionnement. Je prendrais toutes les gardes de nuit à partir de mon retour. Qu’ils trouveraient ci-joint un planning pour les journées, qu’ils se devaient de remplir comme cela leur conviendrait. La seule contrainte était que je voulais deux personnes par jour et que les comptes-rendus devaient être écrits sur le tableau.
Je ne voulais voir plus personne. Finis les relations humaines, cela faisait bien trop mal. Et pendant trois semaines, je n’ai effectivement vu personne. Liz a bien essayée, mais ses appels sont restés sans réponse. Il valait mieux pour elle ne pas m’avoir dans ses relations.
Les retrouvailles avec mes amours furent un vrai bonheur. Câlins, jeux et tendresse. Ayant retrouvée mon calme, les loups avaient suivis.
Durant ces trois semaines, j’avais été obligée de revoir le jeu de la corde à nœud. En effet, un soir, deux femelles de la meute, nous voyant perdre Alaska et moi contre Attila, on voulut nous prêter mains fortes. J’ai apprécié l’initiative, même si ce fut une catastrophe. Une a attrapée, le nœud de notre côté et la seconde, le bas de mon pantalon… Bien évidemment, Attila n’appréciant pas ce type de triche, c’est mis à grogner. Les femelles ne se sont pas éloignées cependant. Mais, deux males de la meute, sont venus prêter mains forte à leur Alpha en détresse. Mouis, sauf que eux, ce sont mis à tirer à partir de la corde centrale. C’est-à-dire, devant le nœud de leur côté. Devant cette preuve de mauvaise foi masculine affligeante, je me suis mise à râler et eux, à tirer plus fort. Résultat des courses, nous avons littéralement décollées quand, ils ce sont mis à tous tirer d’un coup fort. Face contre terre, je grognais presque aussi fort qu’Alaska, alors que ce traître d’Alpha, se pavanait comme un paon.
Le lendemain soir, j’arrivais avec une corde à nœud adaptée pour un jeu avec beaucoup plus de loup. Les résultats de ce jeu n’ont aucune cohérence, parce que les équipes ne sont jamais les mêmes. Un jour c’est fille contre garçons, le lendemain tout le monde est mélangé et le surlendemain, c’est du 3 contre six.
Ce soir-là, nous étions à 7 contre 6 (impossible de faire un équilibre parfait quant on est 13 !). Six dans l’équipe d’Attila, Sept dans celle d’Alaska. Cependant, il y avait beaucoup plus de force dans celle d’Attila que dans la nôtre. Nous étions placés de telles sortes, que notre équipe était du côté des arbres. Je me retourne et vois qu’il y a encore 50cm, entre le bout de la corde et le premier arbre. Je motive donc mes troupes.
- Allez ma belle, il me faut juste encore 50cm de recul et après, ce sera plus facile, promis !
Je me mets à tirer et Alaska suis le mouvement. Les loups derrière moi font de même. C’est dans ce genre de moment que je rêve de chaussure à talons, ça ferait frein !!! Nous reculons de 50cm et je me dirige vers le bout de la corde. Les loups légèrement perturbés par mon déplacement, relâche la pression et je sens la corde repartir dans l’autre sens. Ah ces loups !!! Je cris un « Non » désespéré et ils se reprennent. J’attrape enfin le bout de ma corde et je lui fais faire le tour de l’arbre. Attila me regarde perplexe, mais, quant il tire sur la corde et se rends compte qu’elle bouge beaucoup moins qu’avant, il comprend que je viens de l’arnaquer.
Il me regarde, se tasse et fonce vers moi. A cet instant, je comprends que le jeu de la corde vient de finir et qu’un autre va commencer. Histoire de faire bien, je tire sur la corde et les loups d’en face avance de 20 bons centimètres. Je n’ai pas le temps de faire plus car, Attila vient de me sauter dessus, tous crocs dehors. Il n’est pas agressif cependant. Il boude parce qu’il estime que j’ai triché et comme quant il était petit, se venge en essayant de venir me piquer le ruban tenant mes cheveux. Sauf que, il n’est plus petit et il fait un peu plus de 50kg. Vu de l’extérieur, cela ressemble véritablement à une attaque de loup. Seulement, je lui demande d’arrêter en le repoussant et en éclatant de rire. Et lui, fait descendre ses crocs dans ma chevelure en grognant, pour attraper mon ruban.
Le problème, c’est que je n’avais pas vu qu’il y avait quelqu’un dans le secteur des loups. Et que, me croyant en danger, cet homme à passer la barrière et est entré sur le territoire de la meute. Je ne l’ai remarqué, uniquement quand Alaska c’est mise à hurler. Je me suis redressée et Attila aussi avec mon ruban entre les crocs (fichu loup !!!). Je me suis levée et mise à courir, très vite dépassée par Attila (je n’ai que deux pattes moi !). Je n’étais pas inquiète pour la meute, mais pour l’homme. Tout en m’approchant, j’ai ordonné d’une voix calme :
-
Ne bougez plus. Ils ne vous feront rien
-
Je n’avais pas l’intention de bouger.
-
C’est très bien. (en caressant Alaska) Doucement ma belle, tout va bien. Il ne nous veut aucun mal. Pas vrai ?
-
Non. J’étais venu réserver une visite pour mes élèves quand j’ai vu ce loup vous sauter dessus. Alors je n’ai pas réfléchi et je suis venu vous aider.
-
C’était très courageux de votre part. Stupide mais très courageux.
-
Je le reconnais.
-
Suivez-moi, allons poursuivre notre discussion dans un endroit plus agréable. (nous nous dirigeons vers la salle) Attila, rends-moi mon ruban !!!
Attila se dirige vers un bosquet, s’installe et détruit mon ruban avec beaucoup d’application, son regard dans le mien. Je lève les yeux au ciel en murmurant un « espèce de sale gosse », ce qui fait éclater de rire mon voisin. Celui-ci est grand, brun aux yeux bruns, la mâchoire carré, taillé en V. Il dégage quelque chose de calme, de rassurant presque. J’ouvre la porte et l’invite à entrer.
-
Je me présente, Cassandra FOLKS. Je suis la chef de ce secteur. Mais appelez-moi Cassy.
-
Luc REIGNIER, mais appelez-moi Luc.
Il me dit cela avec une lueur de malice et je ne peux m’empêcher de sourire.
-
Très bien, Luc. Qu’est-ce que je peux faire pour vous ?
-
J’aimerais organiser une visite dans votre secteur pour ma classe de CM1.
-
De CM1 ?!
-
Oui, pourquoi ? Il y a un problème ?
-
Non, pas du tout. Je suis simplement surprise c’est tout. Nous n’avons encore jamais eu une classe de primaire. La plus jeune classe que nous ayons reçu était des cinquièmes.
-
Nous étudions la faune et flore actuellement. Et beaucoup de mes élèves aiment énormément les loups, je me suis dis que ce serait une bonne idée de les faire venir ici.
-
C’est une bonne idée.
Je me dirige vers les plannings et regarde quelle date, je peux lui proposer.
-
Jeudi après-midi dans un mois et demi, cela vous convient-il ? Désolée, je n’ai pas plus tôt
-
Ce sera donc parfait. Aurons-nous le privilège de vous avoir pour cette visite ?
-
Non, je ne travaille que de nuit en ce moment.
-
Quel dommage… Je suis sûr que mes élèves vous auraient adorés.
-
Mes collègues sont aussi très bien vous savez.
-
Oui, mais certainement pas aussi jolie !
Sans savoir pourquoi, j’ai rougi comme une tomate. Luc s’est rapproché et m’a tendu sa carte.
- J’aimerais que l’on se revoit Cassy, autour d’un café, en tout bien tout honneur. Je
crois que vous avez beaucoup de chose à m’apprendre sur le couple Alpha de ce parc. Mais ce sera quand vous le déciderez. Bonne soirée Cassandra.
- A…vous…aussi…
Ai-je besoin de préciser que j’étais totalement perdue ? D’un côté, je ne voulais plus de relation « humaine ». J’avais suffisamment souffert entre Théo et Fitg. De l’autre, cet homme m’intriguait, vraiment. La vie ne pouvait pas rester simple, non ?
Ce fut la semaine des surprises. En effet, le lendemain soir, j’étais en train de m’amuser avec Alaska pendant qu’Attila essayait désespérément de retirer l’élastique de mes cheveux. Il allait pouvoir essayer longtemps, ce truc était quasiment impossible à enlever de cette manière, même pour moi !
Ça lui apprendra à avoir déchiqueter mon ruban !!! Attila s’était redressé pour pouvoir tirer plus fort. Seulement, plus il tirait plus cela se resserrait dans mes cheveux. Dieu merci, j’ai eu la bonne idée de me faire une tresse au lieu d’une queue de cheval. J’ai entendu du bruit dans la salle de repos, mais cela ne m’a pas plus préoccupée que cela. Puis, j’ai vu la porte menant aux enclos s’ouvrir, Fitg se faire littéralement expulser dans l’enclos et la porte se verrouiller. C’était quoi ce délire ?!
- Salut Cassy… ça fait un bail…
Je ne répondis pas, les larmes me montèrent aux yeux et mon cœur se comprima dans ma poitrine à m’en faire mal. Attila laissa tomber mon élastique et se plaça entre moi et Fitg. Alaska se frotta à moi pour me rassurer. Il n’y avait pourtant aucune agressivité dans leurs comportements. La preuve, la meute n’avait même pas réagi. Mais, ils ne comprenaient pas mon comportement. Ils ne comprenaient pas pourquoi, mon aura était passée du « calme et jeu » à « douleur et peur ». Ils ne voyaient pas d’où, pouvait venir le danger. Pour eux, Fitg ne représentait aucun danger. Les larmes, traîtresses, ce sont mises à couler et je me suis mise à trembler. Les deux animaux ce sont encore rapprochés de moi, perdus.
- Cassy, noonn… Je t’en prie, ne pleure pas…
Il s’est mis à genoux près de moi et m’a prise dans ses bras. Je me suis pétrifiée. Qu’allait-il faire ? Me punir encore, pour une raison qui m’était totalement inconnue. Il ne fit rien de cela. Il me caressa doucement les cheveux et se mit à parler.
- Je suis désolé Cassandra, pour ce qu’il s’est passé la dernière fois chez moi. Je n’aurais pas du te laisser repartir. J’étais tellement en colère, tellement blessé, que je n’ai pas réalisé ce que je faisais. J’aurais dû te retenir, t’expliquer pourquoi je réagissais ainsi. Effectivement, tu ne comprenais rien. Mais comment aurais-tu pu comprendre quoique ce soit, si je ne te l’expliquais pas ? Quand j’ai vu que tu ne te débattais pas, que tu me laissais te punir sans rien dire, ça m’a rendu fou. Pour moi, tu me disais, « tu veux me punir, me faire mal, vas-y, qu’est-ce que tu veux que ça me fasse !! ». Or, ce n’était pas le cas. Pour toi, il n’y avait plus rien à sauver de notre amitié. C’est le message que tu as tiré de mes deux punitions. Alors tu m’as laissée faire, te disant que si cela pouvait me soulager, alors tant mieux. Je me trompe ?
Je hoche la tête de gauche à droite, mais n’ouvre pas la bouche.
-
Tu étais et tu es encore tellement loin de la vérité Cassy. Je ne t’ai pas punie parce que j’étais en colère de te voir chez moi. Je l’ai fait parce que tu voulais détruire notre amitié, arrêter de travailler avec moi !
-
Je n’ai jamais rien voulu de cela… dis-je entre deux sanglots. Après m’avoir punie dans mon appartement, tu m’as laissé sans aucune nouvelle. Que voulais-tu que j’en déduise d’autre ? Et puis, quand je suis revenue et que tu m’as trouvée chez toi…
-
Je t’ai administré une correction magistrale… Mais pas pour t’avoir trouvée chez moi, mais pour avoir dit à Liz « Rassure-le en lui disant qu’il ne me reverra plus jamais. » Tu m’as fais sortir de mes gonds. Mais, je n’aurais jamais dû te laisser ainsi et sans explication. Je suis navré Cassandra.
Je me suis roulée en boule contre ses genoux et me suis mise à pleurer pour de bon. Alaska est venu se coller à moi. Quant à Fitg, sa main m’a caressé les cheveux, le dos, jusqu’à ce que le flot de mes larmes se tarisse. Je me suis excusée et Fitg a passé sa main sous mon menton pour me forcer à le regarder.
-
Nous sommes tous les deux en tord sur ce coup-là, Cassy. Pas sur les mêmes points cependant. Maintenant, nous allons mettre deux choses au point. La première, est qu’à partir de la fin de la semaine, on retourne en équipe. Finis pour toi le service de nuit seule.
-
D’accord. Et la seconde ?
-
La seconde est que, une fois que tu seras réellement remise de tout cela, je vais te prendre en main et te montrer ce que représente notre amitié pour moi. Est-ce que je suis suffisamment clair Lou ?
-
Oui… Monsieur…
-
Bien
Sur ce, il m’a embrassé (preuve que j’avais effectivement bien le Maître et non plus l’ami en face de moi) et est parti rejoindre Liz, qui se trouvait dans la salle de repos. Que ce soit bien clair, je ne suis en aucun cas la soumise de Fitg. Je n’appartiens à personne. Seulement, il est la seule personne que je n’envoie pas sur les roses, quant il bascule en mode Maître avec moi. Pourquoi ? Parce que quand il le fait, il a une très bonne raison et que s’opposait à lui dans ce genre de cas, fais très mal. Je ne suis pas retournée dans la salle de la nuit et le lendemain matin, j’expédiais un nouveau mail, expliquant à tous le monde que nous reprendrions notre ancien mode de fonctionnement, au début du mois prochain. J’ai juste mis mon nom (et celui de Fitg), sur le fameux jeudi où, nous devions recevoir la classe de Luc, sur le planning. Cet homme m’intriguait de plus en plus.
A SUIVRE
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